L’ensemble des 365 pages du livre, comme autant de jours dans l’année, est noir, évoquant l’idée que la superposition des trois écritures sacrées aboutirait à une accumulation illisible. La couleur permet également de traduire les querelles entre les trois religions. Mais l’œuvre ouvre aussi une réflexion sur l’agnosticisme, courant de pensée qui consiste à dire que nul ne peut prouver l’existence de dieu, et les formes de spiritualité autres que celles incarnées par les trois religions dites « du livre ». exposé au MUCEM